Un humain, ou deux ou trois, se retrouvent devant du papier. Il en sort ce qu'ils peuvent. Mais c'est ensuite que les choses se gâtent : que des textes aussi inexistants que ceux de Sulitzer, Lévy ou Brown, entre cent autres, deviennent l'aliment intellectuel de masses ne peut que signifier la médiocrité de ces populations et y contribuer.