Il n’y a qu’un mot pour dire ce que j’éprouve, c’est le ravissement. Il faut bien peu de chose, le chant d’un oiseau, un parfum de chèvrefeuille, pour atteindre à une joie voluptueuse sans que l’on puisse démêler la tissure de ce charme indéfinissable qui soudain vous trouble le cœur.