N’empêche que ces intellectuels jettent des coups d’œil débridés sur nos jeunes paysannes bien fournies. Ils ne voient qu’un trou dans leur chair. Ils tenteraient bien un bonjour-collé-fourré-adieu pour grossir la plus grande confrérie haïtienne, celle des pères invisibles.
– Qu’ils aillent foutre leurs graines dans une niche de fourmis hein. Par bonheur hein, toutes nos filles ne se laissent pas avoir, conclut ma tante Da.
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