Gerty Dambury et la diversite culturelle
Ce livre a été écrit par Mlle Gerty Dambourg son titre est "Les Rétifs" publiée en 2010 des éditions du manguier.
Il été écrit autour de la manifestation du vendredi 26 Mai 1967(classé affaire d'état) il raconte l'histoire d'une jeune cherche a savoir pourquoi sa maitresse est partie et pourquoi son père ne rentre plus à la maison.
Une critique n'est pas forcement négative donc je commencerait par une critique positif.
tout d'abord je trouve que le fait de faire parlé les morts est assez bien idée peut commune mais aussi originale.
Aussi original la structure(forme)du livre, telle une danse ou des pas de danse.
Ce que je n'est pas aimé c'est le peut d'importance que l'on attribut a la disparation du père à Émilienne, et que les enfants on dût marché parmi les mort
Une critique n'est pas forcement négative donc je commencerait par une critique positif.
Tout d'abord je trouve que le fait de faire parlé les morts est assez bien, idée peut commune mais originale.
Aussi originale la structure (forme du livre) telle une danse ou des pas de danse.
Ce que je n'est pas aimé c'est le fait de faire marché des enfants parmi des morts ,je trouve ce passage assez choquant car je ne me verrait pas ainsi marché parmi ces morts.
J'ai aimé ce livre a travers l'histoire, une histoire d'une jeune fille banale, qui cherche a savoir POURQUOI.Émilienne m'a beaucoup plus car elle est très courageuse pour son âge(9ans)elle est l'idée même du titre"Les Rétifs" car malgré ce qu'on lui raconte elle veut voir par elle même pour y croire.
Tous les exils qui nous habitent transparaissent dans nos arts et nous bruissent aux oreilles.
Sans doute est-ce pour cette raison que devant les toiles de Robert, j'entends, avant toute chose.
C'est cela.
Le premier mot qui me vienne en repensant à ses grandes pages ouvertes sur un espace immense, c'est celui-ci : j'entends.
L'exil est un monde de silences, nulle parole n'y est appropriée. Des langues s'y oblitèrent, s'y perdent. Aucun souvenir n'est à même de subsister plein et entier. Sans cesse il se reforme, se transforme, devient mensonge, songe derrière le miroir. Dès qu'il s'énonce, il se trahit, dès qu'il s'affirme, il déforme le présent.
Manman'w voyé'w lékol, blaw-la-ka-taw, pou aprann l'ABCD.
Manman'w voyé'w lékol, blaw-la-ka-taw, pou aprann l'ABCD.