Il se méfiait de ceux qui ne mangeaient que pour se nourrir, comme si c’était un problème d’approvisionnement énergétique, il avait de la compassion pour les insomniaques, bouffés par le stress, il n’arrivait vraiment pas à comprendre ceux qui ne trouvaient pas dans une bonne baise le meilleur moyen de résoudre les conflits.
Chacun s’occupe de ses fesses, c’est le cas de le dire. La paix dans le monde, aux dires de Mimmo, s’atteignait en quelques actions bien coordonnées: une tablée d’amis, quelques pots, les effusions vespérales avec ceux qu’on aime et, enfin, le repos du guerrier, mérité.