Gardons nous de l'illusion d'en avoir épuisé toutes les possibilités. On connaît la thèse chère à Paul Valéry selon laquelle il n'est pas un seul mot que l'on puisse comprendre si on va jusqu'au fond. Et Wittgenstein a écrit pour sa part " les mots sont comme la pellicule superficielle d'une eau profonde". Voilà pourquoi il faut chercher les histoires en nageant sous l'eau.