Ce qui se passe dans le grand monde le laisse indifférent. On lui a dit que la guerre n'était plus possible et il le croit : les hommes sont devenus trop savants pour s'entretuer comme à Verdun, en 1916. D'ailleurs, il a souffert durant ces quatre années de sa jeunesse pour que Henri, ce garçon qu'il aime comme son fils, ne connaisse jamais l'enfer. Henri qui aura vingt ans en 1940...