Le 24 septembre 1943, Maurice écrira à Gilbert Rossa : "J'ai un logis dans un petit hameau, 5 à 6 maisons perdues au milieu des mûriers, des sureaux, des frênes. Il y a des sortes de torrents en guise de chemins qui descendent d'une immense côte de sable et d'herbes de steppes, parfois à sec, parfois débordant d'eau grise grondante qui forment comme un collier de fraîcheur les nuits d'été autour des vieilles baraques des paysans...Un âtre, deux vieux buffets, des caisses et une cave et une belle chambre boisée...Souvent Fifon, mon amie, reste avec moi maintenant...Elle y demeure aussi quand je suis loin. Elle écrit un très beau roman Théoda.