Au départ, deux affaires sans lien apparent. En août 1996, le San José Mercury publie l’enquête explosive de Gay Webb sur le rôle de la CIA dans le trafic de cocaïne et ses liens avec les gangs de Los Angeles. Puis, en septembre de la même année, le New York Post, annonce que le FBI enquête sur les rapports que Marion "Suge" Knight, le patron de Death Row Records, entretient avec ses mêmes gangs. Le Village Voice a lâché ses limiers sur l'affaire. résultat : il apparait que c'est à Roland Reagan, via la CIA, qu'il faut attribuer la paternité du gangsta rap.