Je ressentis une pointe de honte. On entendait cette histoire tous les jours. Des hommes comme Ismaël et son ami Johnson avaient aidé la nation à gagner la guerre un an plus tôt, et à leur retour au pays... rien. Pas de travail. Pas de famille. Pas d'avenir. Il s'en était fallu d'un cheveu que je connaisse le même sort.