Il lui semblait sentir la force joyeuse de l'eau agitée, lui dont l'âme n'avait été qu'un petit étang aux rives étouffées sous les herbes fétides. Oui les acacias perdus dans les solitudes immobiles du paysage sarde avaient raison ; oui, bouger, marcher, courir à en perdre le souffle, c'était cela la vie.