Les récits de castration et de crucifixions firent remonter les horreurs du Congo belge et du Rwanda. Si désagréables que ces pensées pussent être, une partie pourrie de son esprit avait toujours été avide de jeter un coup d’œil dans l’abysse psychique s’ouvrant sous ces actes pervers.
(Actes noirs, p.271)