"Le roman est forcément plus prosaïque, moins replié sur les mots, on cut, on delete, on ne craint pas les anglicismes, ni les mots blessés, dégoulinants de sang, on jette, on recolle rarement, on enlève les bouts de gras, le surplus, ce qui dépasse, ce qui pend, on tranche, on se méfie de la formule tombeau, cellule du langage, aucune phrase n'est sacrée, tout n'est que récit.
Tyrannie de la narration
L'histoire
Le suspense
Ne jamais relâcher le rythme
Maintenir en haleine
L'écriture, mon sport, mon loisir
Surtout ne pas perdre le lecteur en route
Quel lecteur ?
Mauvaise haleine du récit
(...)"
"Le roman est forcément plus prosaïque, moins replié sur les mots, on cut, on delete, on ne craint pas les anglicismes, ni les mots blessés, dégoulinants de sang, on jette, on recolle rarement, on enlève les bouts de gras, le surplus, ce qui dépasse, ce qui pend, on tranche, on se méfie de la formule tombeau, cellule du langage, aucune phrase n'est sacrée, tout n'est que récit.
Tyrannie de la narration
L'histoire
Le suspense
Ne jamais relâcher le rythme
Maintenir en haleine
L'écriture, mon sport, mon loisir
Surtout ne pas perdre le lecteur en route
Quel lecteur ?
Mauvaise haleine du récit
(...)"