Je suffoque, je transpire, je me pisse dessus. Une vision d'horreur cannibalise mon esprit. Mon sang se fige. Ce que je vis est de l'ordre de l'impensable, au-delà de la panique. Mon corps est raide, presque paralysé. Alors que le chatterton vient de céder, je jette mes dernières forces pour me traîner devant elle. Je hurle. Je me prosterne, je la supplie, je l'implore.
Mais son indifférence est glaçante. (p 330)