Quand on était au large et que je n'avais pas pied , il me prenait dans ses bras
pour que je ne peine pas trop et que l'on puisse regarder la plage, les gens et la forêt de pins. Je me sentais bien dans ses bras et je me suis dit que ce gars, ce devait vraiment être mon père, parce qu'on ne peut pas se sentir aussi bien dans les bras d'un inconnu.
À partir de cet été, je l'ai appelé papa.