Balzac nous l'a fort bien dépeinte, cette jeunesse sérieuse et folâtre en même temps, qui se mêle au peuple et va danser dans les guinguettes, à la Grande-Chaumière, à Bobino, fréquente les demi-soldes, acclame le souvenir de Napoléon pour faire de l'opposition et qui, en 1830, combat aux barricades.
Le quartier Latin devient un véritable foyer d'insurrection que le pouvoir regarde avec effroi ...