Guy Adamik, journaliste, avait un grand atout en 1983 : il avait connu Mesrine, et obtenaient des révélations exclusives en provenance du quai des Orfèvres.
À l'initiative de Frédéric Dard et d'Armand di Caro, le journaliste accepte en 1983 de restituer la geste du célèbre « ennemi public n° 1 » depuis ses premiers faits d'armes comme soldat en Algérie jusqu'à sa spectaculaire exécution le 2 novembre 1979, porte de Clignancourt, à Paris. « Il te faudra un jour raconter la suite de L'Instinct de mort, lui avait d'ailleurs confié un jour Jacques Mesrine, je n'en aurai pas le temps… »
Finalement, Adamik achève un livre : Mesrine… ou la dernière cavale. Le jour ou tu liras ces lignes je serai mort (Le Carrousel – FN, 1984), un authentique best-seller avec plus de 83 000 exemplaires vendus. Un livre de référence, le livre de référence, diront les aficionados, maintes fois « plagiés » depuis…
25 ans plus tard, Guy Adamik a accepté de reprendre son enquête – avec la collaboration du journaliste d'investigation Olivier Stupp. Avec L'Affaire Mesrine, il propose un ouvrage remanié et enrichi de très nombreuses révélations exclusives.