Je me suis pendu, en effet, ce matin, très tôt. J’ai laissé la traditionnelle lettre, dans laquelle je demande pardon, un peu comme la carte postale envoyée systématiquement à chaque voyage, montrant, entourée au stylo bille, la chambre occupée par un expéditeur fier d’exhiber son dépaysement. Que du crasseux d’une banalité grise.