Pendant la Grande Guerre, les femmes se fiaient entièrement aux savons à la soude de leurs grands-mères pour leur hygiène personnelle. Plus tard, elles utilisent des extraits de fleurs – violette, rose, fleur d’oranger, jasmin – ou des extraits d’origine animale. Pour la soirée, les femmes les plus raffinées se poudrent et vaporisent sur elles des essences florales. Les hommes préfèrent les eaux de Cologne Bay Rum ou Roger & Gallet dont ils s’aspergent pour masquer des odeurs corporelles déplaisantes.