Et puis il se fit qu'aux premiers jours ensoleillés de février, le poète lui-même descendit d'un petit rayon de soleil sur le plafond en pente, comme d'un célèste charriot doré et, les joues roses et les yeux bleus, posa sa douce main magistrale sur la tête d'Olafur Karason de Ljosavik en disant: " tu es la lumière du monde". C’était un de ces rêves qui font du rêveur un homme heureux, prêt à supporter d'un cœur joyeux tout ce qui pourrait arriver.