Danse toujours, dit-il ; danse avec tes souliers rouges, que tu as aimés au-dessus de tout ; danse, jusqu’à ce que tes os se collent contre ta peau, devenue un parchemin, et que tu sois devenue un squelette ambulant. Danse à travers le monde ; quand tu passeras près d’une demeure, où se trouvent des enfants enclins à la fatuité et à la gloriole, frappe au carreau, pour qu’ils te voient et sachent où mène le vice de l’orgueil.
LES SOULIERS ROUGES