Adieu donc, à toi, monde du beau,
Avec tes fraiches eaux courantes et tes bosquets verts !
A l'heure de l'adieu, quant le cœur s'amollit
Et que les pensées fraiches elles aussi deviennent malades,
J'avoue malgré moi que vous étiez beaux,
Même si vous n'étiez au fond que de vains fantômes.
(Auguste Strindberg.)