L’un des plus grands périls que courent les habitants d’une ville violemment ébranlée par un tremblement de terre est celui d’incendie : les foyers, les fourneaux se renversent, mettent le feu à ce qui les entoure, et la panique que provoque le séisme proprement dit fait que nul au début ne s’efforce d’éteindre ces flammes alors qu’elles sont petites encore. (p.47)