"Ce morceau est autobiographique, c'est une certitude. Ce garçon perdu dont il parle, c'est lui. La souffrance empreinte sur son visage ne peut pas être feinte. Et sans que je sache vraiment pourquoi, je ressens le besoin violent d'en comprendre les raisons."
L'oubli, respirer pour de vrai, une solitude inédite, vivre sans se poser de questions, des cauchemars, ne laisser personne s'approcher trop près, se vider la tête, un éclat de rire sonore, un nouveau défi, la lumière tenue des réverbères, un flot incontrôlable de pensées, l'océan qui scintille sous le soleil, de l'espoir, l'envers du décor, réaliser ses rêves, de l'anxiété, une énergie nouvelle, des clichés, une tendresse infinie, une étincelle de sarcasme, une joie communicative, une attitude étrange, une bague de promesse, un air ébahi, de l'exigence, du bleu turquoise très pâle, un regard gourmand, un contrôle absolu une atmosphère particulière, du mépris, une voix rauque, une sensation d'angoisse, rester professionnelle, une rage froide, une tension extrême, des violents frissons, de la perturbation, de l'insolence et de la désinvolture, un cordon rouge, un moment d'égarement, des exclamations, un contact électrique, de la fascination, une mélancolie douloureuse,un soupir désordonné, perdre le contrôle, un regard plein de désir, la violence des sentiments...
Live Nation, une société d'événementiel de renommée mondiale va être le théâtre... Du torrent de sentiments entre Ayden et Mélanie.
Ayden n'a qu'une envie, celle de s'enfermer au studio le plus rapidement possible, et de se retrouver derrière son micro.
Il se sent toujours plein de rage et d'orage.
Il a l'impression que ses blessures se rouvrent non-stop.
Il a un talent indéniable et il pourrait signer un contrat chez Live Nation.
Mélanie, une Française, fascinée par New York, est la nouvelle stagiaire de Live Nation.
Elle a dû s'occuper de sa mère pendant de longues années.
Elle a appris à ne dépendre de personne.
Elle est sensible, entière.
L'histoire entre Mélanie et Ayden est totalement vibrante, absolue et intense comme leur passion pour la musique.
Commenter  J’apprécie         351
Je remercie les éditions HLAB pour l'envoi, via net galley, du roman : Alive - Tome 1 de Hazel Carter-Grace.
Mélanie rêve des États-Unis depuis toujours. Quand on lui propose un stage dans une agence d’événementiel au cœur de la Grosse Pomme, elle n’hésite pas une seconde à mettre sa vie entre parenthèses, et ce même si cela signifie s'éloigner de sa famille et son petit ami Théo.
Mélanie se le promet : là-bas, elle réalisera ses rêves.
Elle ignorait qu'elle allait avoir sur sa route Ayden, artiste torturé qui partage son temps entre studio d’enregistrement et aventures sans lendemain... et qui a bien l'intention de faire tourner la jeune femme en bourrique...
Ce tome un d'Alive m'a permis de passer une partie de ma journée à New York et j'ai apprécié le voyage :) Notamment l'ambiance particulière de ce roman qui nous plonge dans le milieu de l’événementiel, du show-biz.
Mélanie est une jeune femme qui m'a bien plu, même si parfois je la trouve un peu girouette. Elle semble savoir ce qu'elle veut pourtant par moment j'ai l'impression qu'elle fait le contraire de ce qu'elle a prévu peu avant.
Ayden quand à lui est de ces personnages que l'on aime détester :)
Tous les deux ils nous font du Je t'aime Moi non plus, ce qui est devenu assez classique dans ce genre de roman pour jeunes adultes.
Même si j'ai apprécié l'ensemble, le roman est assez long et il faut avouer qu'il y a quelques longueurs ici et là. J'ai parfois sauté quelques petits paragraphes qui ne me paraissaient pas nécessaires. Toutefois je lirais le tome deux avec plaisir, évidemment :)
Je mets quatre étoiles à ce premier tome de la série Alive.
Commenter  J’apprécie         260
Je remercie les éditions BMR et Netgalley pour m’avoir permis de découvrir ce roman. Je ne vais pas vous mentir, il est long, très long (712 pages) et j’ai parfois trouvé le temps long au cours de ma lecture. Je m’explique.
Mélanie débarque à New-York pour effectuer un stage, la chance de sa vie. Elle va rapidement rencontrer Ayden, artiste torturé, qui refuse de signer un contrat pour faire un album. En réalité, il se protège, ne veut pas s’attacher, refuse d’affronter ses démons. Pour lui, la vie se résume à faire la fête, boire (trop) et avoir des aventures sans lendemain avec des filles à chaque fois différentes. Mélanie, elle, est à l’opposé de tout ça. Elle veut une vie paisible, équilibrée. Leur rencontre va faire des étincelles. Ils sont irrémédiablement attirés l’un par l’autre. Mais Mélanie veut une relation stable, or Ayden la fait souffrir sans arrêt par son comportement. Ayden, lui, essaye de ne pas s’attacher trop à la jeune femme, mais trop tard, son cœur est touché. Leur relation est tumultueuse, et du coup, ils passent tout le roman à se déchirer, se quitter, se rendre jaloux, se remettre ensemble. Une fois, deux fois, trois fois… ça fait un peu trop, mais en réalité, ça dure jusqu’à la dernière page, et j’ai saturé.
Entre temps, les rares fois où tout s’apaise, ils se confient l’un à l’autre, on apprend ainsi quelles blessures cache Ayden, quelles difficultés Mel a enduré. Mais j’ai trouvé qu’ils étaient assez égoïstes, tous les deux. Ayden, c’est le bad boy en puissance. Macho, il croit que si Mel est avec lui, il a le droit de diriger sa vie, de prendre des décisions à sa place. Quant à la jeune femme, elle veut d’abord se protéger, arrêter de souffrir, sans parfois se demander ce qu’il ressent dans les moments où il se referme sur lui-même. C’est un peu épuisant. J’ai eu envie de les secouer par moment. Du coup, ça m’a lassée et je n’ai pas spécialement envie de lire la suite (surtout s’ils passent encore leur temps à se retrouver et à se quitter sans arrêt)
De plus, on est ici dans de la new-romance, et j’ai horreur des scènes explicites qui fleurissent dans ce nouveau genre littéraire. Dommage.
Donc, concrètement, c’est loin d’être un coup de cœur, même si je dois avouer que l’écriture est addictive et que j’ai eu envie d’aller jusqu’au bout. Mais quand j’y suis arrivée, j’étais contente que ça se termine enfin. Je suis certainement passé à côté et j’en suis désolée.
Commenter  J’apprécie         42