Quand on attrape un meurtrier, dans la plupart des cas, c’est parce qu’on tient une piste. La médecine légale offre de précieux outils, mais ils ne servent à rien si on ne sait pas dans quelle direction on va. Sauf, bien sûr, si on a la chance de trouver de l’ADN et de l’associer à un suspect déjà connu, évidemment. Seulement, je crains que, dans le cas présent, notre coupable n’ait ni antécédent judiciaire ni casier. Bref, nous avons besoin d’hypothèses.