.
BOOZ INSOMNIEUX (d’après V. Hugo)
(…) Tout dormait dans Passy et Levallois-Perret,
Les souffles de la nuit avaient l’odeur du Bois.
Un fiacre frêle et incertain passait parfois,
Descendant l’avenue. Et il se demandait,
Perplexe, regardant vaguement les étoiles,
Quel exact artisan, quel parfait horloger,
S’était complu, méticuleux, à remonter
Ce ressort éternel qui soulevait les toiles.