N’empêche, si j’avais hérité d’une mère jolie, attirante du téton ou de la croupe, elle aurait sans doute eu le bon goût des toilettes suffisamment suggestives pour éduquer l’œil et les sens de son fils, au lieu des caparaçons de ma génitrice que son bourgeois d’époux devait assaillir au pied de biche comme on cambriole un coffre-fort !