Pau avait deux armes, qu’il mit au service de la République : son violoncelle et sa baguette. Il maintint l’activité de son orchestre en dépit de l’insécurité et il donna des concerts en Europe, en Amérique, au Japon au profit des sinistrés. Il accepta la présidence honoraire d’une “Commission de musiciens pour venir en aide à la démocratie espagnole”