D'ailleurs, de tous les lieux où il vivra, c'est de Zakharovo qu'il gardera le souvenir le plus ému, sans doute parce que la vie simple et paisible, en lisière des bois, que la famille mène là chaque année pendant les trois mois d'été parle au cœur de l'enfant, peut-être aussi parce qu'il y retrouve les paysans, les bûcherons, les renards, et jusqu'aux fantômes qui peuplent les contes d'Arina.