Le lecteur, comme il voulut bien le faire plus tôt, nous pardonnera ici d'accélérer un instant la narration des événements que nous voulons porter à sa connaissance car, pour dire vrai, il serait fastidieux et inutile que de raconter en détail les quatre jours qu'il fallut à Aalis pour aller de Pau à Bayonne, et notre histoire étant déjà un peu longue, nous ne voudrions perdre quiconque en chemin par d'inutiles détours.