Un thriller palpitant et mystérieux dans la lignée de H.P. Lovecraft et d'Agatha Christie.
Octobre 1925. À Blackmore, une île coupée du monde au large de Guernesey, meurtres et disparitions sèment la terreur. Alors que la police piétine, Lorraine Chapelle, première femme diplômée de l'Institut de criminologie de Paris, est appelée en renfort. Cette cartésienne irréductible va devoir mener l'enquête aux côtés d'Edward Pierce, un Britannique spécialisé dans les sciences occultes qui se présente comme « détective de l'étrange ».
Ensemble, ils affrontent les plus sombres secrets de Blackmore: les statues énigmatiques disséminées sur l'île, la rumeur d'un culte maléfique qui sévirait dans l'ombre, et ce vent lancinant, le murmure des brumes, qui ne cesse jamais. Entre mensonges et confidences, ce duo improbable devra démêler le vrai du faux dans une course contre la montre diabolique.
Découvrez le livre : https://www.lisez.com/livre-de-poche/les-disparus-de-blackmore/9782266333092
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Dans la vie, je crois qu'il vaut mieux montrer ses vrais défauts que ses fausses qualités. Vaut mieux surprendre que décevoir.
[...] tout livre qui disparaît, c’est un peu d’humanité qui s’en va.
On dit que la lecture est un plaisir solitaire, mais celui qui ne lit pas est bien plus seul encore. Il lui manque le monde entier.
La liberté, il y en a partout. Il faut juste avoir le courage de la prendre.
On se résigne. J'ai fini par apprendre à me contenter de ce que je suis. Un homme. Un petit homme. Bien loin des héros romantiques, des savants aventuriers et élégants auxquels les plus belles pages des plus grands auteurs me donnaient tant envie de ressembler. J'ai beau me battre pour y échapper - parce que, philosophiquement, la chose s'accorde mal avec ma haine du stéréotype - au fond, j'ai tout les travers du mâle, tous les poncifs de la plus navrante masculinité. J'aime les grosses motos qui font du bruit, les voitures qui vont vite, j'aime la bagarre, la boxe, les armes, la bière, j'ai une libido hypertrophiée, insatiable, j'aime les gros seins et les gros culs, je deviens fou quand on me fait une queue de poisson, je suis terriblement paternaliste, et rien ne me ferait plus honte que de pleurer en public. Je ne suis qu'un homme, en somme.
La naissance et la mort sont deux expériences qui ne se partagent pas. On naît tout seul, on meurt tout seul. Entre les deux, on se débrouille. Moi, entre les deux, j'ai eu la chance de te rencontrer, et même quand t'étais pas là, je me suis jamais senti seul.....
Les vieux bouquins, on a beau les essuyer ou les secouer comme on veut, on a toujours l'impression qu'il reste de la poussière dessus-dedans. Et plus ils sont anciens, plus ils ont cette heureuse odeur d'humidité moisie qui est comme une promesse d'aventures.
[...] les plus belles victoires sont celles que l'on remporte contre un ennemi que l'on n'imaginait pas à sa portée : soi-même.
- Dis-moi, trouduc, t'arrives à respirer par le nez, non ? Alors ferme ta gueule, s'il te plaît.
- C'est sûrement en voyant la tienne, de gueule, qu'un type a inventé la cagoule. Ta mère, elle est tellement grosse que quand elle monte sur une balance, c'est son numéro de téléphone qui s'affiche.
- Et toi, ta mère, elle est tellement pauvre que ce sont les oiseaux qui lui jettent du pain.
[...] on ne mesure pas la beauté d’une histoire d’amour à sa longévité. Les plus grandes amours ne sont pas toujours les plus longues.