Mon fameux cousin m'assurait que les miliciens n'en démordaient pas. Ils avaient été l'objet d'une attaque par des êtres étranges à la double apparence : humaine et animale. Malgré leur peau noire, les Cubains ne parvenaient pas à comprendre ; ils n'avaient pas, les malheureux, l'esprit bantou. Pour comprendre ce phénomène il fallait avoir été circonscris, connaître le sens des masques et des statues, avoir été éduqué dans nos contes, mythes et légendes.