HIALMAR, à Relling : Un homme vit sur des fondations morales. Et brusquement elles se révèlent pourries, elles s’écroulent. Tu ne crois pas que c’est terrible ?
RELLING : Je n’ai jamais été marié, Hialmar. Comment veux tu que je te réponde ? Ce que je peux te dire, c’est que, dans ton cas l’union conjugale comprend aussi un enfant. Un enfant qu’il faut laisser à l’écart de vos histoires. […] Toi et ta femme vous êtes des adultes. Remuez le passé si vous en avez envie, pataugez dans l’eau empoisonnée – n’est-ce pas monsieur Werlé ? – déchirez-vous… Cela vous regarde. Mais je vous le répète, laissez Hedwige en dehors de cette affaire. Sinon, vous risquez de provoquer un drame.
ACTE IV