À Reinsnes, les femmes étaient semblables aux bateaux. Amarrées au même rivage. Mais suivant d’autres destinations quand le vent soufflait. Avec des chargements différents. Tenant la mer d’une autre manière.
Mais tandis que les bateaux avaient un capitaine, les femmes hissaient elles-mêmes la voile selon le vent. Apparemment n’en faisant qu’à leur tête et jouissant chacune d’une autorité particulière.