La vie était un mur élastique dans lequel ses poings s’enfonçaient. Ses désirs étaient éteints. Dans ses accès, ou excès, de lucidité, il se disait qu’il menait une vie purement végétative : se nourrir et nourrir ses enfants. Mais une fois que sa progéniture aurait quitté le nid, il fuirait droit devant lui, vers une espèce de rêve rimbaldien.