Bref, nous voguions en plein mystère domestique, comme il en existe vraisemblablement dans la plupart des familles. Bien entendu, j’aurais aimé connaître la réponse, non pour juger ou condamner – de quel droit l’aurais-je fait, qui pourrait le faire ? – mais simplement pour savoir, comprendre d’où je venais, car il arrive toujours un moment, un âge, où l’on s’interroge sur ses racines. Et je ne connaissais qu’une moitié de l’arbre !