À la naissance du bébé, Je ne pense pas avoir pleuré d'un amour maternel bouleversant. J'ai plutôt pleuré parce qu'on avait arrêté de me demander d'expulser une boule de bowling par le cul, et qu'enfin je n'avais plus peur que mes côtes cassent, que mes poumons éclatent et que mon visage explose. En gros, l'accouchement est terminé et tout le monde est vivant.