Depuis neuf ans donc, je ne m'étonne plus que les vieillards se plaisent tant à cultiver des fleurs, à planter des arbres ; les événements de la vie leur ont appris à ne plus croire aux affections humaines ; et, en peu de jours, je suis devenu vieillard. Je ne veux plus m'attacher qu'à des animaux, qui ne raisonnent pas, à des plantes, à tout ce qui est extérieur.