Le poète Archibald MacLeish, alors sous-secrétaire d'État, critiqua amèrement ce à quoi il assistait juste après la guerre : « À l'allure où vont les choses, la paix que nous ferons, la paix que nous sommes apparemment en train de faire, sera une paix du pétrole, une paix de l'or, des échanges commerciaux. Bref, une paix sans but moral sans soucis humanistes. »