C'est qu'il lui en a fallu, de la vitalité, pour gonfler ses mots de sang, rajeunir les formes, percuter les oxymores, bousculer la syntaxe, inséminer la langue, faire entrer en littérature les poulpes, les nains et les bossus. C'est qu'il lui en a fallu, de l'énergie, pour devenir immortel.
p.105-106