Obéron : Adieu, Puck… L’heure est venue pour moi aussi de retourner dans la bibliothèque parmi les pages poussiéreuses des livres anciens… Dans la ballade oubliée du bon Huon de Bordeaux. Adieu jusqu’au jour où notre chère Celtique aura encore besoin de nous.
(p. 95, Partie IV, “Songe d’un matin d’hiver”).