Je m'insurge contre ceux qui se croient toujours maîtres de tout, qui n'acceptent pas de n'avoir plus de fonction et qui n'acceptent pas que d'autres puissent être libres sans eux. Je m'insurge contre ceux qui, dans une organisation essentiellement républicaine, n'ont de cesse d'invoquer le crime de lèse-majesté, parce que d'aucuns se déterminent en conscience, osent le dire et critiquer.