A toi lecteur, je fais une promesse, je ne sais pas si je pourrais la tenir demain ou dans dix ans, mais je tiens à prévenir tous les salauds de ce monde que je ne les tiens pas en très haute estime, et que si j’écris c’est pour être la voix de mes lecteurs. C’est ça ma promesse. Et ma plume sera trempée dans la colère de la révolte.