Pour commencer, une blockchain est composée de blocs, chaque bloc contenant les données (n'importe quoi de valeur), sa propre valeur de hachage (une valeur cryptographique unique contenant des caractères et des nombres générés par un algorithme de calcul complexe) et un pointeur sur le hachage du bloc précédent.
Pour résumer, la règle générale qui est d'application en finance islamique pour éviter la Riba est la suivante : toute compensation payée doit être justifiée et doit être le fruit d'un effort ou d'un travail qui fait que cette compensation est méritée par celui qui la reçoit.
La discipline que l'Islam souhaite introduire dans le système financier risque de ne se matérialiser que si les gouvernements réalisent dans leurs emprunts auprès de la banque centrale à un niveau compatible avec l’objectif de stabilité des prix et de stabilité financière.
la finance islamique considère que l'argent ne peut pas en soi constituer l'objet d'un échange [...] Il n'est donc pas possible de générer des bénéfices en échangeant cet argent puisque l'argent n'a pas d'utilité ni de valeur intrinsèque.
Le taux de croissance annuel composé de l'encours total des dérivées entre 2000 et 2007 était de 29,9% par an [sic], tandis que celui de la production réelle n'était que de 3,1% par an. Par conséquent, une baisse des transactions spéculatives et liées aux jeux de hasard ne devrait pas nuire considérablement à l'économie réelle. Une réduction de ces transactions réduira les commissions gagnées par les spéculateurs lors d'un boom généré artificiellement, mais elle les aidera à éviter les pertes et les faillites qui deviennent inévitables pendant le déclin et mènent à une crise financière.
Les juristes musulmans soumettent l'achat et la vente de titres de créances à certaines conditions afin de se conformer à l'interdictiof des riba (intérêts), du gharar (incertitude) et des maysia (jeux d'argent).
Construire la confiance en respectant les obligations éthiques et morales renforce donc la civilité politique et la solidarité communautaire, supprime les craintes et la méfiance des institutions publiques et privées pour une existence harmonieuse [...], en réduisant le risque en des temps très incertains grâce à des objectifs partagés et un engagement réciproque.
La banque islamique repose sur deux principes financiers principaux : premièrement, les investissements doivent être réalisés dans le secteur privé par le biais d'un financement sans intérêt. Deuxièmement, le développement des investissements financiers doivent être fondés sur le partage des profits et pertes ainsi que sur le partage des risques.
En termes simples, une blockchain consiste en une chaîne liée qui stocke des données auditables en unités appelées blocs.
Les actifs mondiaux de la finance islamique ont doublé depuis le début du ralentissement économique.