Ilaria Tuti

Sur le toit de l'enfer m'a plongé dans un environnement froid et sauvage dès les premières pages. L'histoire se déroule dans un petit village isolé d'Italie... Et comme tout bon petit village isolé, il abrite des personnes qui ne se confient pas aux étrangers... C'était du coup très intriguant de voir peu à peu les décrets de ce village reculé se dévoiler un à un. Le mystère se dénoue petit à petit, et la chasse à l'homme (cette bête humaine) continue elle aussi... Avec le passé et le présent s'entremêlant parfaitement... La lecture s'est passée tellement vite que je n'ai pas vu la fin arrivée. (On sait tous que c'est bon signe quand on dévorre un livre !).

📚📚 [C'EST MOI LA PREMIÈRE ET LA DERNIÈRE]

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La beauté bouleversante d'un tableau, La nymphe endormie, cache un terrible secret. Peint avec du sang, quel secret renferme cette œuvre ? Au fin fond d'une vallée isolée, soixante-dix ans plus tôt, un terrible événement a eu lieu.

Sans corps, sans preuves, sans témoins, l'équipe de la commissaire Teresa Battaglia devra pourtant tout mettre en oeuvre pour résoudre ce cold case.

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Ilaria Tuti, la nouvelle voix du polar italien, après "Sur le toit de l'enfer", revient avec ce second roman mettant en scène sa commissaire.

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J'ai eu du mal à entrer dans l'intrigue, un peu trop lente au départ à mon goût. J'ai eu également du mal à démêler les nombreuses intrigues entremêlées, les personnages, les époques.

...Mais la persévérance finit par payer et assez vite le plaisir du polar a repris le dessus, et je ne l'ai pas lâché !

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Un cold case qui mêle enquête complexe et multiple, une histoire fleuve de plusieurs générations de femmes fortes, le tout entouré de croyances et rites mystiques.

Un polar idéal pour halloween ! 🎃

Cette auteure est une agréable découverte.



J'ai trouvé ce roman très riche historiquement, très documenté.



J'ai appris l'existence d'une communauté "les resians" dont l'origine est différente des peuples environnants.



Les deux personnages principaux avec leurs problèmes personnels.

Une héroïne très attachante dans ses forces et ses faiblesses, un héros fragile et solide a la fois et une intrigue complexe qui vous tient en haleine jusqu'à la fin.

Et un lieu magique que l'on a envie de parcourir...enfin bref que du bonheur de lecture à consommer sans modération

Premier opus d’une trilogie mettant en scène Teresa Battaglia, femme commissaire pas très sympa, mais grande gueule attachante et d’une fragilité peu à peu révélée.

Un suspens bien construit où le possible côtoie sans arrêt l’impensable au bord d’une frontière où l’on se dit pourquoi pas ?

C’est un polar certes, mais qui va plus loin dans l’exploration du fonctionnement de l’esprit humain et de ses travers. Loin de tout manichéisme, cette intrigue est menée de main de maître jusqu’au dénouement final.

J'ai découvert cette auteure avec ce livre. L'atmosphère du lieu, village isolé de montagne, nous plonge dans un univers où se mêlent secrets et personnages étranges.

L'écriture est fluide et le suspens est présent.

J'ai un peu moins aimé les personnages principaux aux caractères pas très nuancé.

L'histoire est intrigante et on se prend au jeu de cette enquête.

J ai adoré cette lecture c était rude tendre psychologique.

Une belle découverte.

In the mood for…le pacte des loups meets Mowgli.

Les montagnes italiennes du Friuli sont le cadre évocateur de l’affaire dirigée par le commissaire Teresa Battaglia, profiler spécialisé : le corps d’un homme originaire d’un petit village on ne peut plus calme est retrouvé sans vie, énucléé, mis en scène sur un lit de lichen et de mousse. Totalement engagée dans sa mission, prête à mettre sa santé en péril pour trouver l’identité du tueur à l’esthétique atypique, Teresa a du mal à accueillir le dernier arrivé dans son équipe, Massimo Marini. Exigeante et dure mais aussi profondément attachante, elle met à l’épreuve le jeune inspecteur. Ensemble, ils doivent braver le froid, l’épuisement et les superstitions locales pour mettre un nom sur le prédateur et protéger le village…



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Direction l'Italie et les montagnes enneigées du Frioul. Je n'ai mis que 3 soirées à le terminer. C'est plutôt bon signe👌 Huis clos villageois, crimes sordides (qui n'en sont pas ?), expériences nazies, mystification, amalgame passé/présent : quel cocktail🍸 Ce mélange des thèmes qui s'entremêlent à l'image des deux policiers. Antagonistes, ils mènent tambour battant une enquête palpitante ❄ Toute la psychologie mise au service du bien, du mal ou comment nomme-t-on lorsque l'on est conscient d'aucun état ? 😳 Cette fragile frontière entre la victime et le bourreau est magnifiquement explorée. Et que dire de la commissaire et de ses tourments intimes ? Que je souhaite la retrouver bientôt 🏔

. Cette lecture est en demi teinte... Un résumé prometteur, des débuts assez captivants... mais une lecture un peu lente pour moi. Si l’histoire et l’intrigue sont en elles-mêmes très intéressantes, j’ai trouvé qu’il manquait un peu d’action, de vivacité a l’écriture et au scénario. J’ai apprécié les allez retours entre le passé et le présent, et j’aurais aimé que les aspects du passé soient plus exploités. Cette partie de l’histoire était pour moi, hyper captivante. Et j’aurais aimé en apprendre plus sur cet orphelinat si particulier... ce qui aurait été je pense un peu à la compréhension de l’intrigue du présent. Néanmoins, je suis prête à lire une autre histoire avec Teresa. Cette femme énigmatique, rude et empathique, cabossée par la vie, manie la psychologie avec justesse et intelligence. Et quelle repartie ! Ces punchlines m’ont bien fait sourire ! J’ai apprécié les paysages d’une Italie qu’on connaît peu. Les précisions quant aux décors m’ont plu et ont aidé à visualiser les scènes. Bref... une lecture en demi-teinte. Des côtés positifs comme des aspects moins excitants.

Livre intéressant... nouvelle découverte italienne

Mon avis sur ce livre est mitigé, j’ai trouvé que l’histoire mettait du temps à s’enchaîner et une fois que c’était la c’était vraiment prenant. Il y avait du suspense, de l’horreur tout ce que j’aime, un bon thriller de ce côté là à mon goût.

Je ne cache pas non plus que j’ai descellé la fin vers les 300 pages malheureusement..en effet tout s’est tellement vite enchaîné que je m’en doutais déjà..

Malgré tout c’est une bonne lecture, prenante à partir des 150 pages pour ma part, l’auteure a beaucoup d’imagination c’est un fait !

Peut être qu’il vous plaira à vous !🤷🏻‍♀️ Je ne reste pas fermé de redécouvrir l’auteure au travers d’un autre livre sait-on jamais...
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Une belle découverte : j'ai beaucoup aimé le personnage de Térésa, pétrie d'humanité sous ses airésultats revêche. La relation entre elle et Marini prend des allures d'élève et de mentor. J'en lirai d'autres pour savoir comment va évoluer l'état de santé de Térésa.

Un polar qui fait le job : une intrigue solide, des personnages bien campés et, en prime, un paysage qui ne joue pas les figurants.

Un roman policier assez novateur. J'ai particulièrement apprécié le caractère des personnages, leur côté à fleur de peau, la relation entre les deux enquêteurs principaux.

Très bon thriller avec des personnages attachants et de beaux paysages alpins hivernaux.

J'ai adoré l'intrigue et le sujet .

Avec ce livre, j’ai fait la découverte de Ilaria Tuti, une auteure de talent.

L’histoire se déroule dans un petit village italien. Le décor montagnard se prête complètement à l’enquête. L’histoire est très bien construite mêlant passé et présent. On a rarement vu un tueur de cet acabit.

On s’attache également à l’équipe d’enquêteurs. Entre une commissaire qui a ses failles, un petit nouveau qui essaye d’intégrer une nouvelle équipe.

Avec cette lecture, j’ai fait une belle découverte et je suivrai les prochaines parution d’Ilaria Tuti.

Navigant entre les concepts de bien et de mal avec une facilité déconcertante, Ilaria Tuti nous offre un assassin unique, avec une personnalité rarement vue encore.
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Le livre débute sur une période antérieure à la quatrième de couverture, nous nous retrouvons en Autriche, en 1978. Au sein d’un couvent, des bébés sont gardés par les sœurs, mais rien n’est normal, les nonnes cachent leurs visages lorsqu’elles approchent les nourrissons et ses derniers ont un comportement étrange, comme s’ils étaient connectés entre eux…



Puis le roman bascule sur l’action de nos jours avec la découverte de ce corps, énucléé à mains nues, reposant au milieu de la forêt enneigée avec autour de lui un « cordon de protection, comme si le tueur avait voulu protéger le corps des charognes… C’est à ce moment que nous faisons la rencontre du commissaire Bataglia, la soixantaine, un fort caractère, qui ne va pas se priver de malmener son nouvel inspecteur fraîchement arrivé de la ville, Massimo Marini.



« Les tueurs voient l’enfer que nous avons sous nos pieds, tandis que nous, nous ne voyons que les fleurs… »



Le premier tiers du livre m’a un peu perturbé, je ne comprenais pas vraiment la mécanique, du mal à entrer dans l’enquête, les personnages ne m’atteignaient pas plus que cela et j’étais perdue avec ces quelques chapitres faisant références à l’Autriche. Mais une fois ce cap franchit, le rythme s’accélère, comme une montée en puissance.

J’ai fini par accrocher, j’ai eu des moments de colère, de peine, c’est relativement bien mené, avec des chapitres courts qui nous permette de se plonger dans cette atmosphère d’urgence, au cœur des forêts italiennes enneigées où la mort risque à nouveau de frapper.



Peut-être que le début me laisse un gout amer tout de même et je ne peux pas dire que c’est un coup de cœur comme l’avait été ma découverte de Sandrone Dazieri avec Tu Tueras le Père. Je reste curieuse de connaître les prochains romans d’Ilaria Tuti puisque, si j’ai bien compris, celui est le premier d’une trilogie.

Le démarrage est assez lent, le temps de présenter les lieux, ce village où les taiseux sont nombreux et la vie au sein de cette brigade. L’inspecteur Massimo Marrini nouvel arrivé dans la brigade est assez étonné par l’attitude bourrue, revêche du commissaire Battaglia. Il en perd un peu ses moyens, au point de ne plus savoir que dire et que faire, doutant de ses faits et gestes. Moi aussi j’ai détesté cette femme et sa façon de traiter ses équipiers qui pourtant semblaient avoir envers elle un énorme respect.



Certains chapitres sont plus précisément consacrés à Teresa et au fur et à mesure de ma lecture, j’ai admiré cette femme de soixante ans dont la vie est rythmée par la solitude et par la maladie ancrée en elle qui progresse de jour en jour et altère son quotidien et son travail. Derrière ce côté bourru se cache une femme profondément humaine avec ses hommes et très attachante. Elle est forte, ne lâche rien et a un réel talent dans la résolution des enquêtes.



Justement il est important aussi de parler de l’enquête et des différents cadavres retrouvés. Il va falloir traquer la bête, arrêter le massacre et surtout en comprendre le motif et la raison. Ce roman fait froid dans le dos et est pour moi un coup de cœur car il se démarque des nombreux thrillers et polars où les enquêtes tombent sous le sens et où les flics sont des personnages insensibles, souvent accro à l’alcool pour oublier leurs problèmes de couples. Ce livre est le point de départ d’une trilogie et je suis déjà impatiente de retrouver le second tome.



La couverture de ce livre est vraiment en parfaite adéquation avec l’histoire. Ces montagnes italiennes lors de l’hiver sont recouvertes de neige ce qui rend le silence encore plus oppressant que la normale. Les éléments qui la composent sont décris avec précision car l’auteur, même si elle a changé le nom du village, a voulu décrire ce qu’elle connait depuis l’enfance. Ce village détruit par un séisme et reconstruit pierres après pierres après la destruction de nombreuses habitations de familles entières. Cet univers de toute beauté est pourtant le domaine d’un assassin.

Merci babelio pour cette découverte
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