Ce 1er mai 1994 j'étais devant mon poste de télévision. La tension au départ après un début de week-end déjà dramatique, l'image de sa Williams-Renault pulvérisée, la longue attente à regarder les secouristes s'affairer autour de lui, tout cela est resté marqué à jamais dans mon esprit. Et puis en début de soirée l'annonce à la radio de son décès. C'était comme un cataclysme. Nous ne reverrions plus jamais le célèbre casque jaune sur une grille de départ.