Ô vous, mes compagnons d'infortune, vous qui pleurez, avec un espoir faiblissant et un ardent désir extravagant et ingénieux, la perte de la bien-aimée, permettez-moi de vous donner du moins ce conseil : souffrez avec pureté. Bannissez le remords, bannissez le ressentiment et les cris et contorsions de la jalousie dégradante. Abandonnez-vous à une souffrance immaculée. Ainsi, au mieux vus rejoindrez votre joie avec un amour bien plus pur. Et au pire... vous connaitrez les secrets du dieu. Au mieux, il vous sera accordé le privilège d'oublier. Au pire, il vous sera accordé le privilège de savoir.