- Laisse-le, le môme, il parle comme un livre, c’est pas nouveau, il a trop lu, il a trop de mots…
- On n’en a jamais trop, Gramolo. Les mots c’est beau, ça ne coûte rien et ça sert à tout. On a tous de l’or dans la bouche si on sait s’en servir…
(p. 288)