(…) je suis un homme à chat. J’aime leur indépendance, leur indifférence aussi. À l’époque, j’aimais surtout l’idée qu’ils venaient à moi quand ils le voulaient, d’égal à égal, pas de fidélité, habitude, ou parce qu’ils ne savaient pas où aller. Et sur notre île, on avait des chats, beaucoup de chats.