Guido n'a jamais goûté l'art baroque. Trop de dorures, trop de tarabiscotages, trop de chichis aurait dit sa mère. Il comprenait que les artistes avaient rivalisé sans fin pour illustrer leur habileté et flatter leurs mécènes, mais cette débauche paraissait, au paysan qu'il était resté, une perte de temps et d'argent.